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jeudi 10 janvier 2019

四合院 Sìhéyuàn

四合院 Sìhéyuàn




Le Sìhéyuàn 四合院 est un style architectural prédominant en Chine. On le retrouve un peu partout sur le territoire. Cette architecture traditionnelle chinoise est très répandue dans le vieux Pékin. Apparue pour la première fois sous la dynastie des Zhou (1122 à 256 avant JC), ce n'est que durant la dynastie des Yuan (1271 à 1368 avant JC) que le modèle Sìhéyuàn a été perfectionné. 
La caractéristique principale du Sìhéyuàn réside en sa cour carrée intérieure entourée de bâtiments sur ses 4 côtés.  Dans la tradition chinoise, chaque élément avait son importance. Que ce soit pour les points cardinaux, pour l'orientation de la maison, pour les dimensions, pour la disposition des portes, pour l'emplacement des chambres et même des toilettes, rien n'était laissé au hasard.
La cour carrée est vraiment typique de ces maisons chinoises. Toutes les activités de la maison se concentrent autour de cette cour car elles donnent souvent sur les principaux bâtiments qui composent la maison à savoir, les chambres des propriétaires et la pièce principale qui servait de salle de réception. Autrefois, elle était souvent unique et placée au centre de la maison, parfois décorée de quelques pots de fleurs et petits arbustes à feuillages. De nos jours, cette cour est généralement agrémentée d'éléments de confort (tables de jardins…).
L'attribution des bâtiments dans un Sìhéyuàn respectait une hiérarchie précise. La première porte située dans l'angle sud-est de la maison était généralement la seule et unique entrée. Dans son prolongement, un bâtiment de taille plus ou moins importante (selon le statut et la richesse de la famille) était construit. Il s'agissait de la salle de réception qui permettait de recevoir les invités de marque. Ce bâtiment était séparé du corps principal par une petite cour intermédiaire qui donnait sur la seconde porte. Cette séparation permettait de préserver l'intimité des habitants dans la cour carrée. Dans les Sìhéyuàn plus modestes, cette partie est abandonnée au profit d'une seule porte qui donne directement sur la cour intérieure.
Passé la deuxième porte, se trouvent les bâtiments qui entourent la cour carrée intérieure et qui font office de chambres pour les propriétaires. Le bâtiment central au Nord, face à la porte principale et la porte secondaire, était celui destiné aux parents. L'aile Ouest était destinée aux fils et aux belles filles de la famille. L'aile Est était destinée aux membres plus jeunes de la famille ou aux filles, le cas échéant.  Les petites chambres annexes sur la façade sud, construites dans le prolongement des vérandas et de la seconde porte, étaient réservées aux serviteurs et aux cuisines. Enfin, dans les grandes familles, un dernier bâtiment invisible depuis la cour, se trouvait derrière le bâtiment central des parents, et, était quant à lui, réservé aux filles de la famille.
Cet aménagement est rigoureusement respecté afin que certains espaces bénéficient d'une plus longue exposition à la lumière du jour. Des techniques de constructions ont même été élaborées afin de permettre de capturer davantage de soleil en hiver dans certaines régions plus froides de Chine. Des cours de taille importante ont donc été préférées. Dans les régions plus chaudes du Sud, les cours carrées sont devenues plus longilignes pour minimiser cette exposition.
Cette structure renfermée leur permet de se cacher des yeux indiscrets, tout en se protégeant des vents violents. L'une des principales caractéristiques des Sìhéyuàn est l'absence totale d'ouverture vers l'extérieur.  A part la porte d'entrée principale, toutes les ouvertures donnent sur la cour intérieure. Les rares fenêtres de la maison étaient de toutes petites ouvertures pratiquées en hauteur dans les murs et permettaient seulement de voir sans être vus. Les murs d'enceinte et les portes à fleurs tombantes étaient toujours décorés avec goût, ces deux principaux éléments ont pour fonction de refléter la position sociale, la richesse et le goût du raffinement des propriétaires. La seconde porte qui sépare l'extérieur de l'intérieur est souvent ornée de chapiteaux en forme de pétales d'où son nom. Elle est toujours fermée de l'intérieur pour préserver l'intimité des habitants.
Hormis, les espaces vides (la cour) et les espaces construits en dur (les bâtiments et les murs d'enceinte), les Sìhéyuàn possédaient aussi des espaces couverts comme les vérandas. Ces couloirs de transition servaient de hall d'accueil et permettaient de relier les différents bâtiments, même pendant les jours de pluie. 


四合院是中国的主要建筑风格。它遍布整个领土。 这种传统的中国建筑在老北京很普遍。在周代(公元前1122年至公元前256年)第一次出现,仅在元朝(公元前1271年至公元前1368年),四合院模型才得以完善。
四合院的主要特色是四面环绕建筑物 (中国式的平房) 内部的庭院。 在中国传统中,每个因素都有其重要性。无论是基点,房屋的方向,尺寸,门的布局,房间的位置,甚至厕所,都没有任何机会。无论是基点,房屋的方向,尺寸,门的布局,房间的位置,甚至厕所,没有任何是偶然的。
方形庭院是这些中国房屋的典型代表。所有房子的作用都集中围绕在这个庭院,因此它们经常是组成房子的主要建筑物,即房东的房间和主要的房间作为接待室。在过去,它经常是唯一的,放在房子的中心,有时装饰着一些花盆和带叶子的小灌木。 如今,这个庭院一般都是休闲舒适的环(花园桌子......)。
四合院的建筑分配尊重一个精确的等级结构。 唯一的入口也就是第一扇大门,通常是在院房的东南角。在建筑一个比较大型的、或小型的建筑物时(需取决于家庭的地位和财富)。关于接待室,是用来接待贵宾。这座建筑通过一个小型中间庭院的第二扇门与主体分开。 这种分隔可以保持方形庭院中居民的亲密关系。 在较为现代的四合院里,这部分已经被取消了,一扇门有利于直接通往内院。
过了第二扇门, 是围绕四合院内部的建筑物,并作为业主的房间。 北面的中央建筑面向主门和副门,是专为父母设计的建筑。西翼是为了这个家庭的儿子和儿媳妇。 东翼是适合家庭的年轻成员或女孩儿。 南面的小型附楼客房,位于阳台和第二扇门的延伸部分,专供仆人和厨房使用。最后,在大家庭中,院子的最后一座看不见的建筑物,就在父母的中央建筑物后面,而且就其本身而言,是为家庭的女孩们保留的。
这种布局严格的遵守了,某些空间可以长时间的享受日光。 甚至还开发了建筑技术,以便在中国的一些寒冷地区获得更多的冬天的阳光。因此,大半是首选。 在南方较温暖的地区,方形庭院变得更加细长,以尽量减少这种暴露。 
这种封闭的结构使他们可以避开窥探眼睛,同时保护自己免受强风侵袭。 四合院的一个主要特点是完全没有对外开放。除主入口外,所有开口均俯瞰内部庭院。 房子里的墙上,几个窗户都是很小的开口,只有在看不到的时候才能看到。墙壁和落花的门,总是装饰得很高雅,这两个主要元素具有反映社会地位,财富和业主精致的品味功能。将外部与内部隔开的第二扇门通常饰有花瓣状的大写字母,因此得名。 它总是从里面关上,以保持居民的亲密关系。
除了空地(庭院)和内置空间(建筑物和周围的墙壁),四合院还有走廊等空间。这些过渡走廊被用作接待大厅,即使在下雨天也可以连接各种建筑物。






jeudi 27 décembre 2018

守株待兔Shǒuzhūdàitù - Attendre le lièvre sous l'arbre


Shǒuzhūdàitù
守株待兔

Sòng guó shídài, yǒu yīgè zhòngtián de rén, yǒu yītiān zhèngzài tián lǐ gàn huó, hūrán, yī zhǐ tùzǐ
宋国时代,   有一个种田的人,        有一天正在田里干活, 忽然,一只兔子
cóng cǎo cóng lǐ pǎo chūlái, yītóu zhuàng dào tián biān de dà shù shàng, zhéduànle bózi,
从草丛里跑出来,       一头撞到田边的大树上,       折断了脖子,
dào zài dìshàng bù dòngle. 
倒在地上不动了。
  
Zhège rén gǎnkuài pǎo guòqù, bǎ tùzǐ jiǎn qǐlái. 
这个人赶快跑过去,      把兔子捡起来。

Tā gāoxìng jíle, xīnlǐ xiǎng: Méi yòng yīdiǎn lìqì, jiù jiǎnle yī zhǐ yòu féi yòu dà de tùzǐ.
他高兴极了,心里想 :没用 一点力气,就捡了一只又肥又大的兔子。
Yào shì yǐhòu měitiān dū néng jiǎn dào yī zhǐ tùzǐ, nà gāi duō hǎo a !
要是以后每天都能捡到只兔子,那该多好啊 !

Cóngcǐ yǐhòu, tā bù zài zhòngtiánle, zhěng tiān zuò zài shù páng, děngzhe zài yǒu tùzǐ pǎo lái zhuàng sǐ.
从此以后,他不再种田了,整天坐在树旁,   等着再有兔子跑来撞死
Rìzi yītiān yī tiāndì guòqùle, zài yě méiyǒu tùzǐ láile.
日子一天一天地过去了,再也没有兔子来了。

Tā de tián lǐ cháng mǎnle yěcǎo, zhuāngjià quán wánliǎo.       
他的田里长满了野草,     庄稼全完了

Hòulái rénmen yòng “shǒuzhūdàitù"lái bǐyù wàngxiǎng chénggōng ér bù jīngguò nǔlì de rén.
后来人们用守株待兔"来比喻妄想成功而不经过努力的人。



Quel que soit le domaine, fa persévérance doit être cultivée pour réussir. Attendre que tout tombe du ciel risque de se conclure comme l’histoire de ce paysan de [époque de Song...

Attendre le lièvre sous l'arbre

À l'époque Song vivait un cultivateur.
Un jour, alors qu'il travaillait au champ, un lapin jaillit soudain d'une touffe d'herbe, il se cogna la tête contre un arbre [qui était] au bord du champ, se brisa le cou [et] s'écroula sur le sol, sans bouger.

L'homme se précipita [et) le ramassa.

Il était très content. Au fond de lui, il pensa « Sans effort [il est possible] de ramasser un lapin grand et gros. Si désormais, chaque jour je peux ramasser un lapin, ce serait vraiment bien »

Depuis ce jour, il ne cultiva plus [ses] champs. Toute la journée, il s'asseyait à côté de l'arbre en attendant qu'un lapin vienne se fracasser la tête en courant.

Les Jours passèrent. [mais] aucun lapin ne vint.

Dans ses champs, les mauvaises herbes poussèrent et envahirent tout. Toute la récolte périt.

Ce chengyu veut dire… :
Plus tard on employa ce chengyu « 守株待兔 » (Surveiller arbre attendre lapin/lièvre) pour dire qu'il est insensé de penser obtenir des résultats sans travailler.

Autres traductions proposées :
-Surveiller la souche dans l’attente d’un lièvre.
-Attendre le lapin au pied de l'arbre

Expressions équivalentes :
-Attendre que les alouettes tombent toutes rôties dans la bouche.
-Attendre que tout tombe tout cuit.
-Vivre sur ses lauriers.
-S'entêter dans de vains espoirs.
-Avoir un poil dans la main.
-Tirer la (sa) flemme.

Ce chengyu fait penser à… :
Lièvre - lapin : animal lunaire (yin) lié à la divinité Terre - Mère et au symbolisme des eaux fécondantes et régénératrices de la végétation, du renouvellement perpétuel de la vie. (Ce cultivateur s'en est aperçu : l'absence de lapin entraîna sa ruine.)

Il représente la longévité, l'aptitude à mener une vie longue, saine et respectable.

Gambadant la nuit, apparaissant et disparaissant avec vivacité, il hante les clairs de lune de l'imaginaire par son ambivalence symbolique comprenant les deux aspects, faste et néfaste, qu'il est difficile d'isoler. C’est ainsi qu'en Chine, on raconte beaucoup de choses à son sujet. Par exemple la croyance que si une femme enceinte reçoit les rayons lunaires, son enfant naîtra avec un bec de lièvre.

Dans notre langage familier, lorsqu'une personne ne vient pas à un rendez-vous auquel elle est attendue, ne dit-on pas qu'elle a « posé un lapin » ?


mardi 25 décembre 2018

自相矛盾Zì xiāng máodùn - Confronter la lance et le bouclier (l'un à l'autre)


Zì xiāng máodùn
自相矛盾

gǔ shíhòu, chǔ guó yǒu yīgè mài máo hé dùn de rén. Yǒu yītiān, tā lái dào yīgè xiǎo chéngzhèn
古时候,楚国有一个卖矛和盾的人。有一天,他来到一个小城镇
zuò shēngyì. Tā yīshǒu jǔ qǐ tā de máo, kuāyào shuō : “Wǒ de máo fēnglì wúbǐ, wúlùn
做生意。他一手举起他的矛,夸耀说:我的矛锋利无比,无论
duōme jiānyìng de dōngxī dū néng cì chuān.”
多么坚硬的东西都能刺穿。

Guò le yīhuǐ'er, tā yòu jǔ qǐ lìng yī zhī shǒu lǐ de dùn shuō : “Wǒ de dùn jiānyìng wúbǐ,
过了一会儿,他又举起另一只手里的盾说:我的盾坚硬无比
wúlùn duōme fēnglì de dōngxī yě cì bùpò.”
无论多么锋利的东西也刺不破。

Zhè shí, pángbiān yǒurén wèn tā : “Yòng nǐ de máo cì nǐ de dùn, jiéguǒ huì zěnyàng ne ?"
这时,旁边有人问他:用你的矛刺你的盾,结果会怎样呢?"

Zhège mài máo hé dùn de rén bèi wèn dé dā bù chū huà lái.
这个卖矛和盾的人被问得答不出话来。


Yǐhòu rénmen yòng “zì xiāng máodùn" lái bǐyù yīgè rén shuōhuà huò zuòshì bùyīzhì, hùxiāng dǐchù.
以后人们用自相矛盾" 来比喻一个人说话或做事不一致,互相抵触。




Faire des pirouettes oratoires peut mener à de fortes incohérences et mettre en difficulté comme dans le cas du vendeur de lances et de boucliers du pays Chu...


Autrefois, dans le pays de Chu, il y avait un homme qui vendait des lances et des boucliers. Un jour, il alla dans un petit bourg pour y faire du commerce. D'une main, il souleva une lance et la vanta : « Ma lance est incomparablement acérée, aussi dure que soit une chose, elle peut la transpercer ».

Un peu de temps passa. De l’autre main, il souleva un bouclier et dit : « Mon bouclier est incomparablement résistant, aussi acérée que soit une chose, elle ne pourra le transpercer ».

A ce moment, sur le côté, une personne lui demanda : « [Si tu] utilises ta lance pour transpercer ton bouclier, qu'est-ce qui va se passer ?»

L'homme qui vendait les lances et les boucliers et à qui l'on posait cette question ne put répondre et resta Sans rien dire.

Ce chengyu veut dire… :
Ce chengyu « 自相矛盾 » (soi-même lance bouclier) exprime la non cohérence du comportement de la personne, cest-à-dire le fait quelle disse une chose et son contraire, ou qu'elle fasse des choses en contradiction avec ses paroles.

Autres traductions proposées :
-        - Opposer soi-même la lance au bouclier.
-         - Bouclier et lance s'affrontent.

Expressions équivalentes :
- Se contredire.
- Être contradictoire.
- Ne pas être conséquent avec soi-même.
- Démentir ses propres paroles.
- Dire une chose et son contraire.

Ce chengyu fait penser à… :
La lance : symbole axial, phallique ou solaire (yang). Symbole de l'autorité.
Le bouclier : symbole de l'arme passive, défensive, protectrice. Représentation de l'univers.
La confrontation : symbole du passage d'un contraire à l'autre. Elle symbolise la réalité, l'instabilité et l'incohérence psychique, individuelle et collective.

Dans la religion chrétienne, le bouclier est la foi (bouclier de la foi), la lance est celle qui perça le flanc du Christ (de ce fait, par la suite, elle aurait eu la vertu de guérir les blessures qu'elle avait causées).


dimanche 23 décembre 2018

漂亮!中国水墨与时尚的完美结合! Magnifique ! La combinaison parfaite de l'encre de Chine et de la mode !


漂亮!中国水墨与时尚的完美结合!
Magnifique ! La combinaison parfaite de l'encre de Chine et de la mode !



这是一组极具雅致之美的时尚水墨!
Ceci est un ensemble d'encres mondes (vogues) d’une beauté élégante !



浓浓的墨,淡淡的彩
简单流畅的线条
勾勒出东方特有的
高贵、典雅、灵动之韵味
Encre épaisse, une touche de couleur
Lignes simples et lisses
Décrit les caractéristiques uniques de l'Orient
Noble, élégance et charme intelligent



作为一个时尚插画师,囧宁墨坊说:“我用随手的笔锋来表达着,我对东方雅致之美的感悟,对时尚文化的一种东方情怀。”
En tant qu'illustratrice de mode, Suining Mofang a déclaré : "J'utilise un stylo facile à utiliser pour exprimer mes sentiments sur la beauté de l'Orient et les sentiments orientaux de la culture de la mode."
















中国的水墨绘画,西方的时尚潮流服饰文化,在这里以极简而多变的线条自然地融为一体,形成了独特的“墨色时尚”。
La peinture à l'encre de Chine, la culture de l'habillement à la mode occidentale, se fond naturellement dans les lignes minimalistes et changeantes, formant une "mode de couleur d'encre" unique.





samedi 8 décembre 2018

雕版印刷工坊简介 Introduction à l’atelier d’impression de gravure


雕版印刷工坊简介
Introduction à latelier dimpression de gravure







关于雕版印刷的小知识

雕版印刷是在一定厚度的平滑的木板上,粘贴上抄写工整的书稿,薄而 近乎透明的稿纸正面和木板相贴,字就成了反体,笔划清晰可辨。雕刻 工人用刻刀把版面没有字迹的部分削去,就成了字体凸出的阳文。印刷 的时候,用刷子在凸起的字体上涂上墨汁,然后把纸覆在上面,用工具 轻轻拂拭纸背,字迹就印在纸上了。

Petites connaissances sur l’impression xylographique :

L’impression xylographique est, sur une planche de bois lisse d’un certain degré d’épaisseur, l’application d’un écrit soigneusement rédigé, la face du papier fin quasiment translucide collé à la planche de bois, les caractères d’écriture apparaissent le corps inversé, les tracés sont clairement distincts. Le graveur, au couteau à graver gratte la partie à la surface de la planche ne comportant pas d’inscription, se forme à la surface un texte en relief. Au moment de l’impression, avec une brosse on applique sur les caractères d’écriture en saillie de l’encre, puis on pose un papier dessus, avec un instrument on essuie légèrement le dos du papier, les traces d’écriture sont imprimées sur le papier.







mardi 4 décembre 2018

线装书工坊简介 Introduction à l’atelier de la reliure du livre


线装书工坊简介
Introduction à l’atelier de la reliure du livre





关于线装书的小知识 : 中国书籍的装订历史渊源流长,从秦始皇的简策开始,经历了卷轴装、 经折装、蝴蝶装、包背装,到明代中期出现了线装,经历了两千多年的 发展变化。后来,线装书就成为中国书籍装订的主要形式。线装书一般 以四眼线装或六眼线装为主。 线装这种装订方式,是中国古代书籍装帧的最后一种形式,也是古代书 籍装帧技术发展最富代表性的阶段,具有鲜明的中国特色。


Petites connaissances sur la reliure des livres 

La reliure du livre en Chine a une origine lointaine et une histoire pérenne ; depuis les écrits sur lamelles de bambou et planches de bois du premier empereur des Qin, puis l’écrit sur rouleau, la reliure accordéon, la reliure papillon, la reliure au dos enveloppé, jusqu’au milieu de la dynastie Ming où apparaît la reliure cousue, elle a traversé plus de deux millénaires de développements et de transformations. Par la suite, la reliure avec fil devient la forme principale de reliure des livres chinois. Les livres cousus comprennent en général quatre ou six trous « yeux enfilés ». Le livre cousu est la dernière forme de reliure des ouvrages chinois anciens, et l’étape la plus représentative du développement des techniques de reliure des ouvrages anciens, distinctement dotée de spécificités chinoises.